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Avec Olga, les enfants ont appris à reconnaître les 3 principaux types d’hirondelles présentes en Bretagne :

– l’hirondelle de fenêtre

– l’hirondelle rustique

– l’hirondelle de rivage.

Après avoir identifié les particularités de ce petit volatile autour de plusieurs ateliers, les enfants se sont vus être apprentis bricoleurs en confectionnant des nids artificiels afin de les installer au sein de l’école.

Atelier 1 : à quelle famille appartient l’hirondelle ?

« On a fait le puzzle du renard, de l’hirondelle et de la libellule et on a cherché ce qui n’était pas pareil. »

« L’hirondelle est dans la famille des oiseaux. »

Atelier 2 : quelle est la différence entre les 3 hirondelles de Bretagne ?

« On a fabriqué des hirondelles en papier et Fabienne a tout accroché avec de la ficelle. Ça s’appelle un mobile. »

« On a colorié les hirondelles : il y avait des petits points pour savoir mettre les bonnes couleurs. »

« Il faut du rouge, du noir et du bleu foncé pour l’hirondelle rustique. ROUGE comme RUSTIQUE. Du noir, du blanc et du bleu foncé pour l’hirondelle de fenêtre. Et du marron et du blanc pour l’hirondelle de rivage. »

« Les grands ont découpé les morceaux et on a collé les ailes avec eux. »

Atelier 3 : pourquoi ne voit – on pas encore les hirondelles ? où sont – elles ?

« Olga a raconté le voyage des hirondelles.”

Atelier 4 : où et comment les hirondelles construisent – elles leurs nids et pourquoi ont – elles besoin que nous leur fabriquions des nids artificiels ?

« On a fabriqué un nid. On a mélangé de l’eau, de la colle (plâtre), des petits morceaux de bois (copeaux) et de la terre (argile). »

« On a pris de la boue et on l’a mise sur le bol. On a tapoté avec les mains. »

« On a attendu que ça sèche et on a enlevé le bol. »

« On a fermé le nid avec une planche en bois. »

Et qui sait peut-être que nous aurons le plaisir de pouvoir accueillir ces grandes voyageuses au sein de notre école.

Les enfants ont pu ainsi comprendre la difficulté pour ces oiseaux de pouvoir nicher dans notre région à cause du manque de précipitations essentielles à la confection de leurs nids ainsi qu’à la présence de plus en plus faible des insectes.